À la découverte de… Fred et Ginio, vice-présidents du BCLM #6
Chaque semaine, À la découverte de… vous présentera une personne de l'ombre du club sans qui il ne serait pas possible d'avancer. Pour ce sixième volet, présentation du dernier binôme de l'équipe : les vice-présidents Fred et Ginio.
Depuis combien de temps faites-vous du basket et êtes-vous au BCLM ?
Fred : "J’ai commencé à l’âge de dix ans, mais j’ai eu une petite pause ensuite. Vu que la passion ne nous quitte jamais, j’ai repris à l’âge de 18 ans en revenant à La Mézière. Maintenant, ça fait deux ans que je suis pleinement revenu au BCLM."
Ginio : "J’ai commencé le basket à l’âge de cinq ans, et je suis au club depuis 2016."
Pourquoi avoir choisi de s'investir dans le club ?
Fred : "Pour le salaire (rires). J’avais envie depuis un petit moment de m’investir dans le club et vu que je connais assez bien le BCLM, c’était plus facile de s’intégrer. Je partage aussi les valeurs du club, donc si je peux mettre ma pierre à l’édifice pour le faire grandir c’est un bonus."
Ginio : "D’abord parce que j’aime le basket. Ensuite, il y a une volonté d’aider le BCLM parce que j’aime l’ambiance qui y règne. J’ai toujours été investi dans chaque club où j’ai été donc à La Mézière c’est pareil."
Quel est votre rôle au sein du club ?
Fred : "Je pense que l’intitulé vice-président ne reflète pas totalement notre rôle au sein du club. On est très investis sur les différentes manifestations du BCLM. Le club avait la volonté d’avoir de nouvelles têtes et de nouvelles personnes pour avoir un avis extérieur et neuf."
Ginio : "C’est un titre sur un papier pour montrer que l’on veut s’investir dans le club. C’est aussi pour suppléer le président quand il a un empêchement, ou quand il a besoin d’aide tout simplement."
Quel est votre travail ?
Fred : "Je suis gérant de magasins de prêt-à-porter."
Ginio : "Moi, je suis directeur commercial chez Atriome, qui est d’ailleurs l’un de nos nouveaux sponsors."
Quel est votre meilleur souvenir avec le BCLM ?
Fred : "Pour moi, ce sont les soirées de Noël que le club a organisé. C’étaient toujours des moments familiaux et festifs. Et sportivement, les différentes montées de division, ça marque toujours."
Ginio : "Il y a évidemment la fête nationale du MiniBasket. Le monde que l’événement avait mobilisé était impressionnant. Après, il y a des bons souvenirs qui viennent des victoires, mais on en garde aussi de très bons avec les défaites."